e Simon et x Ravoire
e Simon et x Ravoire

des devoirs…. de mémoire pour quelques élèves lillois

Les élèves d’une classe de cinquième du collège Notre-Dame de la Paix ont passé trois jours, du 3 au 5 juin, sur la côte normande, pour découvrir les lieux historiques du D Day. Des journées chargées d’émotion. Les jeunes sont partis à la rencontre des vétérans et ont enregistré des témoignages.

Plus fort que dans les livres d’histoire :

« Nous sommes allés à Utah Beach, à Sainte-Marie-du-Mont (musée de l’occupation), à Sainte-Mère-Église, au cimetière américain de Colleville, au musée d’Overlord, à la pointe du Hoc et surtout nous avons rencontré des vétérans », racontent les collégiens. « Quand nous étions sur Utah Beach ou la pointe du Hoc, nous nous imaginions ces hommes, soixante-dix ans auparavant, venir libérer notre pays. Il ne faut pas oublier tous les combattants américains, canadiens, anglais et d’autres nationalités, tous ces soldats ont payé de leur vie pour libérer notre pays. »

« Tous les musées et les reconstitutions nous ont permis de comprendre avec quels moyens et dans quelles situations les militaires ont débarqué et vécu. »

« Il ne faut surtout pas oublier notre passé et garder le flambeau allumé. C’est notre devoir de mémoire. Une des personnes que nous avons interrogée nous a dit qu’il fallait le préserver et en parler aux futures générations. »

« Des moments très émouvants »

« Nous ne les oublierons jamais. » « Au musée de la Résistance, on a appris que les Américains avaient apporté le chewing-gum en France à cette occasion et que les Français étaient surpris de découvrir que les bottes américaines avaient des semelles en caoutchouc. »

« À Sainte-Marie-du-Mont, il y avait une petite reproduction d’un camp américain. Les gens étaient presque tous déguisés en soldats américains, en soldats médecins, ou en infirmières. Leurs équipements étaient vraiment très lourds ! »

« Nous avons vécu des moments très émouvants qui nous ont fait prendre conscience que tous ces gens se sont battus pour notre liberté. »

omaha beach et bien d'autres choses passionnantes

les bruits , les sons et la musique du débarquement...

reportage_video_sans_materiel_de_pro.pdf
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Pharrell Williams sort "Happy: un clip de 24h (!), réalisé par 2 français

 deux jeunes hommes qui ont pourtant une philosophie de vie simple comme ils l’expliquent sur from-paris.com : "On essaye d’être des mecs cool et on essaye de faire des trucs cool." Une simplicité qui ne cache pourtant pas une envie de partager, de communion :

Superbe Hommage à Nelson MANDELA ...

Nelson Mandela

et johnny clegg

 

Peu de mouvements politiques ont été autant liés à la musique que la lutte anti-apartheid, et Nelson Mandela est sans doute le seul prisonnier qui a en partie dû sa liberté à un concert. Le 11 juin 1988, un impressionnant défilé de rockstars avait fêté ses 70 ans et demandé sa libération lors d’un festival au stade Wembley à Londres : Sting, Peter Gabriel, George Michael, Eric Clapton, Dire Straits, Stevie Wonder, Withney Houston L’impact mondial de l’événement contribuera à la libération du leader de l’ANC, en février 1990.

Condamné à la prison à vie en 1964 pour son opposition frontale à la ségrégation raciale institutionnalisée par le gouvernement sud-africain, Nelson Mandela est censé ne plus exister. Son nom même doit être oublié. "Nous ne l'avons pas vu"   (traduction littérale d'Asimbonanga ), dit le refrain en zoulou, dont l'un des couplets (écrits, eux, en anglais) cite Steve Biko, Victoria Mxgengen, Neil Aggett, des militants de la lutte anti-apartheid assassinés.

Dans Asimbonanga , Johnny Clegg reprend une phrase tirée d'une oeuvre de John Donne, poète et prédicateur anglais (1573-1631). "We are all islands" (nous sommes tous des îles), tous unis, car liés les uns aux autres par une même eau. Une mer que l'on va traverser un jour pour se retrouver, prédit le chanteur qui rêve d'un silence enfin brisé ("Broken silence is what I dream").

 Nelson Mandela a été libéré (en 1990, après vingt-six ans de captivité), il a reçu, conjointement avec Frederik De Klerk, le prix Nobel de la paix en 1993, est devenu président de la République d'Afrique du Sud l'année suivante (fonction qu'il occupera jusqu'en 1999).

LOU REED

Avec le Velvet Underground, il avait réinventé le rock'n'roll, dix ans après Elvis Presley, faisant hurler les guitares dans les galeries d'art, sous l'égide d'Andy Warhol. Il avait à peine 30 ans quand il est devenu la figure historique vers qui David Bowie se tournait pour inventer le rock décadent, avant que toutes les vagues successives du rock, du punk à la scène new-yorkaise contemporaine, se réclament de son patronage. Provocateur infatigable – prêt à embrasser aussi bien la cause de la peine de mort qu'à insulter les journalistes qui l'interrogeaient –, il n'avait jamais cessé de créer. Jusqu'à ce dimanche 27 octobre, date de la mort de Lou Reed, annoncée par le magazine américain Rolling Stone.

2013-11-14 Lou Reed Memorial at Lincoln Center

 

Metteur en scène de pièces et d'opéras, réalisateur, scénariste et acteur au cinéma